Revenez aux origines du couteau à cran d’arrêt… à palme avec la Coutellerie Nontronnaise ! Nos nouvelles finitions de manches plairont à toutes et tous.
En 2018, Pour commémorer la paix et l’Armistice du 11 Novembre 1918, la Coutellerie Nontronnaise rééditait une fidèle reproduction du modèle original du couteau cran d’arrêt à palme avec son manche en buis pyrogravé caractéristique du couteau périgourdin.
Devant le succès rencontré pour ce couteau du soldat, notre Coutellerie élargit aujourd’hui sa démarche et propose une collection de trois modèles cran d’arrêt à palme particulièrement élégants.
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Manche en Wengé, l’exotisme en main
Avec son manche en Wengé, ce modèle de couteau pliant séduira les amoureux d’un certain esprit design chic et intemporel, (le bois présente également la particularité d’être extrêmement résistant).
Bois de Redheart, c’est l’Amérique !
Le cachet du cœur rouge du manche en Redheart (bois exotique provenant d’Amérique du Sud) conviendra parfaitement aux élégants férus de style et d’originalité.
Bois de serpent, éloge de l’art brut
Les amoureux de beaux objets choisiront ce modèle de couteau de poche dont le manche en bois de serpent se distingue par son décor graphique naturel.
Petite Histoire du Cran d’arrêt à palme…Dans son appellation commune, le cran d’arrêt désigne pour la plupart d’entre nous, un type spécifique de couteaux à cran d’arrêt : le couteau éjectable ou le couteau automatique, équipé d’un système de déverrouillage à push. Il suffit d’appuyer sur le pressoir pour faire sortir la lame. Ce couteau à cran d’arrêt n’a pas toujours eu bonne réputation et parfois à juste titre, on se souvient du terrible Stiletto rapporté d’Italie par les soldats américains. En réalité, le « vrai » cran d’arrêt des origines était en fait un couteau utilitaire à usage mixte, repas, travaux divers, etc. Il suffit pour s’en convaincre de considérer son fonctionnement : le talon de la lame vient s’accrocher sur le ressort plat qui recouvre le dos du manche. Pour déverrouiller le couteau, il faut soulever l’anneau situé sur la palme.
C’est ce modèle que l’armée française commanda en 1914 aux propriétaires de La Coutellerie Nontronnaise d’alors, la famille Bernard et la famille Petit. Il s’agissait probablement d’équiper les poilus d’un outil performant à usage quotidien pour manger, aménager les tranchées et le cas échéant se défendre. Rompant avec le système de verrouillage à virole tournante qui caractérisait et caractérise encore celui qu’on appelle « le plus vieux couteau de France », la Coutellerie Nontronnaise allait contribuer de façon significative bien qu’indirecte à l’effort de guerre.
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